La sixième coupe de vin

                                                                              

Une famille en Israël  a décidé cette année de ne pas fêter Pessah. La fête de la liberté, la sortie d’Egypte, la fin de l’esclavage. “Comment pouvons nous chanter, fêter, boire les quatre coupes traditionnelles de vin alors que notre fils croupi, depuis quatre ans, dans un trou, sans liberté, sans espoir ” a expliqué Noam Shalit.

Ce soir, dans la maison Shalit, dans le village pastoral de Mitspé Hilla sur les hauteurs de la Galilée, il n’y aura pas de soirée traditionnelle du seder.

Face à la maison, des centaines de jeunes se sont donnés rendez-vous pour un seder de la solidarité. Nous représentons les Juifs d’Israël et de Diaspora qui ce soir seront en fête mais n’oublieront pas qu’un soldat d’Israël est encore esclave.

Pas de seder à Mispé Hilla, mais dans des milliers de foyers juifs  une chaise vide, une pensée, une prière, et à coté de la cinquième coupe de vin d’Eliahou Hanavi, que les Juifs placent sur leur table du seder, depuis plus de 2000 ans, au cas où, le prophète Eliahou, viendrait ce soir là, une sixième coupe pour Guilad.

5 Replies to “La sixième coupe de vin”

  1. DESOLEE MAIS FACE AU HAMASS TOUT CECI NE SERT A RIEN La preuve des mois de négociations des concessions et RIEN DE NOUVEAU

  2. Nous aussi sommes de tout coeur avec sa famille et avons une pensée pour lui. Que le mossad kidnap Khaled Meshaal pour faire l’échange.

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