Tsafrir Bar On ז”ל et sa femme
Dans les rues d’Israël, la tristesse est palpable, comme une lourde pierre noire que chacun tente en vain d’écarter de son chemin. Un soupir, un regard dans le vague, un geste révélent la douleur. Pas simple pour Israël d’enterrer dix huit soldats en moins de trois jours.
Chaque histoire est tragique. Tsafrir Bar On avait 32 ans, père d’une petite fille d’un an et mariée à Sivan enceinte de huit mois. Les affres de la guerre.
De France, je découvre à l’instant votre blog qui raconte la vie, loin des torrents de boue antisémites et néga-sionistes qui submergent mon pays que je ne reconnais plus – malgré quelques réactions politiques trop tardives, loin des analyses et des prophéties. Cela fait vraiment du bien.
Israel parle de ses morts soldats ou civils avec pudeur et amour, partage des photos du temps où ils étaient en vie. Les photos montrent leur grande beauté, les communiqués racontent leur vie, les refont exister comme les humains qu’ils étaient … quelle différence avec la façon infâme de montrer les corps profanés de morts et blessés sans nom, de “l’autre côté” :(
Que Dieu les accueille en son sein, là où c’en est enfin fini de la haine …
vous pourriez trouver exactement la meme histoire de l’autre coté
Non Nadia, non ! Regardez les informations télévisées et regardez bien les différences qui existent entre les deux civilisations.
Ici on respecte, on prie, on loue la mémoire des défunts…
De l’autre côté ? Des gueulantes et des reproches mêlés de menaces…